L'Excalibur Diabolus in Machina
L'Excalibur Diabolus in Machina
Quand on fait un vœu à une étoile, des choses incroyables commencent à se produire. Dans ce cas, Roger Dubuis défie délibérément ses propres codes. Dans l'Excalibur Diabolus Machina, les cadrans historiques de l'Excalibur, composés de chiffres romains et d'étoiles, ont complètement implosé dans le mouvement, donnant naissance à une architecture décalée, mais parfaitement équilibrée. Ce design disruptif crée une harmonie entre les opposés en fusionnant une géométrie rigoureuse avec le chaos créant ainsi une prouesse horlogère encore plus complexe mais bien plus excitante, pas un seul élément n'est positionné sur le même niveau.
Roger Dubuis a toujours démontré son penchant pour l'excès et l'extravagance. Un penchant assorti d'une volonté intrépide de défier les règles par une approche résolument expressive et contemporaine. Cet état d'esprit d'innovateur en série résulte de l'association d'ingénieurs visionnaires et d'horlogers incroyables aux savoir-faire radicaux. Il se nourrit de l'obsession quotidienne de concevoir et de créer le futur de la Haute Horlogerie. Servant l'esthétique par des compétences techniques, réinventant la tradition en libérant la créativité pour repousser toutes les limites, Roger Dubuis présente fièrement une nouvelle interprétation de sa répétition minutes. Une expérience réservée à une tribu de connaisseurs passionnés.
En 2021, Roger Dubuis démontre une nouvelle fois son approche intransigeante de l'horlogerie en lançant une réinterprétation déstructurée d'un état d'esprit créatif impertinent et irrévérencieux : l'Excalibur Diabolus in Machina. Cet exemple de l'obsession inlassable de Roger Dubuis pour les défis présente une combinaison audacieuse de complications maîtrisées par peu d'horlogers : une répétition minutes, aux côtés du tourbillon volant caractéristique de la Maison genevoise, ainsi qu'un système automatique à double micro-rotor. Sonnant fièrement le triton, l'accord " Diabolus in Musica " proscrit dans la musique religieuse médiévale, l'Excalibur Diabolus in Machina dispose de deux autres fonctions : un indicateur de disque de lecture du son et un dispositif de sécurité " tout ou rien ". Disponible en or rose ou en titane revêtu de DLC, ce modèle fougueux et très contemporain confirme de manière éclatante que le diable est vraiment dans les détails. Combinant avec succès prouesses techniques et esthétique audacieuse, l'Excalibur Diabolus in Machina est un exemple frappant de la manière la plus excitante de vivre l'Hyper Horlogerie chez Roger Dubuis.
Un design disruptif et une expertise horlogère diabolique
Quand on fait un vœu à une étoile, des choses incroyables commencent à se produire. Dans ce cas, Roger Dubuis défie délibérément ses propres codes. Dans l'Excalibur Diabolus Machina, les cadrans historiques de l'Excalibur, composés de chiffres romains et d'étoiles, ont complètement implosé dans le mouvement, donnant naissance à une architecture décalée, mais parfaitement équilibrée. Ce design disruptif crée une harmonie entre les opposés en fusionnant une géométrie rigoureuse avec le chaos créant ainsi une prouesse horlogère encore plus complexe mais bien plus excitante, pas un seul élément n'est positionné sur le même niveau.
Triade de temps
Cette sophistication esthétique s'accompagne de prouesses techniques impressionnantes. Inventée comme moyen d'indiquer l'heure la nuit avant l'avènement de l'éclairage électrique, la répétition minutes est considérée comme l'une des complications horlogères les plus difficiles. C'est la seule qui exige de l'horloger qu'il procède à autant d'ajustements manuels tout au long du processus d'assemblage afin de garantir un carillon idéal. C'est également la seule à faire appel à un véritable talent musical de la part de son créateur qui l'accorde avec beaucoup de finesse et de savoir-faire, comme un instrument de musique. Cette complexe complication auditive fait partie intégrante de l'héritage du fondateur de la marque, M. Roger Dubuis, et c'est tout naturellement que ses héritiers en proposent une version qui honore cet héritage tout en lui donnant une tournure résolument contemporaine et espiègle.
L'Excalibur Diabolus in Machina démontre son expertise diabolique avec un poussoir qui active un carillon. Les informations de chaque came sont lues mécaniquement par le système principal de palpeur-broche de la Répétition Minutes, qui les transmet aux crémaillères permettant aux marteaux de frapper les gongs. Ces derniers émettent un son grave pour les heures, un son aigu pour les minutes et deux sons pour les quarts d'heure, permettant au porteur de vérifier l'heure à volonté. Composé de trois tons, soit six demi-tons, le triton - également appelé triade ou quinte bémolisée - est un intervalle troublant qui ne se conforme pas aux attentes des auditeurs. Il constitue ainsi un écho audible de l'approche perturbatrice de Roger Dubuis en matière d'horlogerie. Cette dissonance distinctive était appelée à l'époque médiévale " l'accord du diable " ou " l'accord de l'homme ". diabolus in musica et strictement interdit dans les compositions religieuses. Elle n'en a pas moins continué à jouer un rôle crucial dans les harmonies mélodiques complexes, apparaissant notamment dans le poème symphonique de Camille Saint-Saëns Danse Macabre et dans l'air caractéristique du groupe de métal Black Sabbath. Bousculant astucieusement l'univers des répétitions minutes, Roger Dubuis a choisi le son du triton comme carillon de sa Répétition Minutes dans la Diabolus in Machina. Une pression sur le bouton de la répétition minutes entre 9 et 10 heures active la tonalité dissonante - accordée en do et sol bémol - qui résonne dans les matériaux nobles et offre une expérience d'écoute fascinante.
Intrigue visuelle et sécurité renforcée
Parmi les principales avancées techniques de l'Excalibur Diabolus in Machina, citons l'indicateur de disque de lecture des tonalités à 11 heures. L'activation de la Répétition Minutes déclenche la rotation de ce disque - fusionné avec un chiffre romain et portant les mots Heures, Quarts et Minutes. Le résultat est une représentation visuellement frappante des intervalles de temps qui sont sonnés.
Un indicateur fonctionnel supplémentaire simplifie encore l'utilisation en indiquant si la montre est en position "remontage manuel" ou "mise à l'heure". En plus de rehausser le design par son intégration artistique à 4 heures, il joue un rôle de sécurité utile pour éviter des dommages potentiels en avertissant le porteur de ne pas ajuster la montre pendant que la répétition minutes sonne.
Portant un nom qui reflète son importance dans un mécanisme de répétition minutes, le mécanisme "tout ou rien" offre une sécurité supplémentaire en garantissant que la répétition minutes ne peut être activée que lorsque le poussoir a été enfoncé à fond. Cela élimine le risque d'endommager le mécanisme par un déclenchement intempestif, et facilite la compréhension du carillon en évitant toute indication partielle et potentiellement confuse de l'heure.
Une corde à son arc
Les complexités de ce modèle sont naturellement renforcées par la décision typiquement audacieuse de Roger Dubuis de combiner cette nouvelle approche de la répétition minutes avec son fameux tourbillon volant. Chacune de ces deux complications horlogères comporte ses propres défis techniques et les associer dans un même modèle est le genre d'entreprise réservée aux maîtres horlogers les plus compétents et les plus expérimentés.
Pour que les aficionados profitent pleinement du voyage, cette série certifiée Poinçon de Genève et animée par le calibre RD 107 est logée dans un imposant boîtier de 45 mm en or rose ou en titane DLC et équipée d'un bracelet en cuir de veau conçu pour un confort maximal. Fidèle à son nom provocateur et irrévérencieux, l'Excalibur Diabolus in Machina fait vibrer les cœurs et les esprits d'une tribu passionnée par la réinvention du jeu de l'Hyper Horlogerie par Roger Dubuis.
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